Nouvelle année rime avec nouveaux projets !

Ces premiers jours de l’année invitent au bilan de l’année écoulée. Si vous faites partie de ceux qui ont un projet en tête depuis quelques temps, mais qui doutez d’être prêts à « faire le pas », cet article arrive à point nommé pour vous aider.

Nombreuses sont les personnes qui rêvent d’entreprendre, mais on peur de se lancer. C’est tout à fait normal. L’inconnu est ainsi, incertain.

Comment savoir si l’aventure imaginée de l'entrepreneuriat a des bases suffisamment solides ou si au contraire il vous faut poursuivre dans vos réflexions pour mettre davantage de chance pour la réussite de votre projet? Voici les 2 questions clés:

👉 Quel est le service ou produit proposé?

👉 Avez-vous les bonnes compétences ?

Ces deux simples questions seront celles auxquelles les investisseurs vont s'intéresser le plus. Bien entendu, il faudra travailler le fameux « business plan » qui sera votre arme de vente et permettra de matérialiser la rentabilité de votre projet / idée, mais vous devez donner confiance à ces investisseurs en étant capable d'énoncer clairement votre service ou produit proposé pour convaincre ensuite!

Puis se pose la question des ressources humaines: une start up commence souvent à 2, voire plus de personnes, qui se complètent en terme de compétences et apportent cette belle valeur ajoutée au projet, qui le rend unique. Assurez vous que les rôles, responsabilités et temps disponible pour le projet, permettent sa viabilité.

En terme de droit, des personnes réunies pour un but commun forment conforme une société simple. Mais ne soyons pas naïfs, il est primordial d’acter la création d’une personne morale (SA ou Sarl) pour protéger votre patrimoine privé mais aussi pour formaliser une structure qui génèrera des bénéfices et dont les règles de répartition sont bien plus simples si une société mercantile existe.

N’oubliez pas d’ajouter dans les statuts au minimum un droit préférentiel d’acquissions des parts entre les actionnaires et de prévoir la méthode de calcul pour définir le prix des parts. Cela vous vaudra de belles économies, si, le cas échéant, après les années qui suivent la création de la société , les intérêts entre associés divergent et obligent à la modification du spectre d’actionnaires.